Qualité optimale | Réactivité maximale | Investissement minimal
La traduction automatique (que l’on intégre plus largement dans une des sous couches de l’intelligence artificielle dite à base de Large Language Models) révolutionne la façon dont certains textes et contenus sont traduits. Pour bénéficier de la puissance de cette nouvelle technologie, il faut en maitriser le contour. Nous avons chez Sotratech notre propre philosophie. Elle n’était pas révolutionnaire mais très pragmatique. Notre objectif est de faire bénéficier nos interlocuteurs de toute la puissance de cet outil sans jamais compromettre notre positionnement de spécialiste de la traduction professionnelle ni la portée des textes qui nous sont confiés.
Quels avantages y trouver ?
Quelles limites à ne pas oublier ?
Pas de panique, nous sommes là pour faire les bons choix en fonction de vos objectifs, votre budget et la nature de vos textes.
En fonction du degré de spécialisation de vos contenus, nous adaptons notre processus. Nous pourrons bénéficier de la puissance de Deepl, Amazon Translate, de GT (Google Translate), d’OpenAI (intelligence artificielle générative) ou encore de moteurs de traduction automatiques plus confidentiels et spécialisés. Le choix se fera en fonction de votre contexte et de la nature de vos textes.
En fonction des cas, nous devons préparer les documents à l’opération de traduction à suivre et/ou tester le processus de bout en bout pour vérifier que nos interlocuteurs peuvent récupérer des fichiers traduits parfaitement activables et importables dans leur environnement technique :
Intégration des contenus à nos outils de TAO (memoQ ou Trados).
Intégration des glossaires et des mémoires dans notre outil de traduction assisté.
Choix et intégration API de l’outil de traduction automatique en version professionnelle retenu pour sa pertinence dans le contexte du projet.
Pré-traduction 1 : la mémoire de traduction et le glossaire entrent en jeu et sont utilisés en priorité pour « pré-remplir » le document avec les traductions déjà existantes et validées sur un précédent projet.
Pré-traduction 2 : choix du bon outil de traduction automatique (spécialisation, respect de la confidentialité des données) et lancement de l’opération de traduction automatique des textes restants.
Cette étape est indispensable dans une très grande majorité des situations et des projets.
Le linguiste professionnel n’officie plus ici comme traducteur mais comme post-éditeur, nom savant donné à un traducteur professionnel menant une opération de relecture d’une traduction automatique.
Son action permet de s’assurer de nombreux écueils :
Que ce soit pour des questions de respect de la confidentialité ou de pertinence de l’opération de traduction automatique, le recours à des outils professionnels est indispensable. La connexion à un outil de TAO est tout autant indispensable pour la création et la maintenance de mémoires de traduction et glossaires. Il faut aussi penser à la remise en page du document traduit. D’autres outils de préparation de fichiers ou de PAO doivent aussi parfois être mobilisés en amont.
Voici quelques exemples de contextes et projets qui peuvent bénéficier avantageusement d’un processus de traduction hybride.
Nous étudions votre besoin avec précision. Si nous pensons qu’un processus hybride de traduction est pertinent au regard de vos documents, contenus et vos objectifs, nous vous informons et mettons en œuvre les étapes décrites ci-dessous.
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